Photo de Monsieur Bruno Girard

Bruno Girard

Décédé le 21 juillet 2022 à l'âge de 48 ans
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Photo de Monsieur Bruno Girard
Bruno Girard
Décédé le 21 juillet 2022 à l'âge de 48 ans

Cérémonie civile

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Cimetière Communal
Route d'Aubussargues
30700 Serviers-et-Labaume
samedi 23 juillet 2022 à 10h00
groups

Message de la famille

C'est avec une grande tristesse que nous vous annonçons le décès de Bruno survenu jeudi 21 juillet 2022 à Serviers Et Labaume. La cérémonie se déroulera le samedi 23 juillet 2022 à 10h00 à l'adresse suivante : Cimetière communal - Route d'Aubussargues - 30700 Serviers-et-Labaume.

Un service de plantation d’arbre hommage est disponible ici.

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Déroulé des obsèques

  • 1

    Cérémonie civile

    location_on
    Cimetière Communal
    Route d'Aubussargues
    30700 Serviers-et-Labaume
    Le samedi 23 juillet 2022 à 10h00
  • 2

    Inhumation

    location_on
    Cimetière Communal
    Route d'Aubussargues
    30700 Serviers-et-Labaume
    Le samedi 23 juillet 2022 à 10h35

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9 hommages ont été rendus

  • Stéphanie
    Il y a 2 ans

    Bruno, Je crois que j'ai la chance de t'avoir dit beaucoup avant que tu ne partes. Que tu étais beau même dans la fragilité qui t'étreignait, que je tremblais à l'idée de mal faire (en dépit de mes années de pratique de mère de famille nombreuse) dès que nous faisions la cuisine ensemble, que tu continuais de m'intimider alors que je me sentais si proche de toi, que je t'aimais, que mes enfants avaient de la chance de t'avoir auprès d'eux pour échanger, comprendre et grandir, que je m'endormais chaque soir en visualisant les cellules saines de ton corps remplacer les cellules malades, que quand tu souffrais je me concentrais sur l'image de toi nageant sans fin dans la mer. Sans lunettes embuées, avec des mouvements amples et beaux, un effort régulier mais minimal parce que ton corps répond parfaitement à ce que tu lui demandes et que tu glisses dans l'eau, la respiration exactement synchronisée avec tes gestes, le corps fort et serein, l'esprit libre et tranquille et que ce rythme au diapason de tout ton être te permet d'aller où tu le souhaites et que cela ne s'arrêtera jamais. Je t'ai dit aussi que j'ai aimé tout de suite ta façon d'être présent tout en restant à la marge. Ce dedans/dehors qui te faisait déambuler parmi nous, observant avec acuité, curiosité et tendresse les êtres qui vivaient à tes côtés. J'ai aimé ton regard qui prenait de la hauteur, observait l'ensemble, sans pourtant jamais se placer en surplomb et en se nichant si souvent dans le détail de nos âmes. J'ai aimé voir se fissurer la méfiance que tu éprouvais envers toi même et te voir t'approcher de nous en faisant ce pour quoi tu étais fait: réfléchir et faire réfléchir, accompagner vers une meilleure compréhension de soi même et du monde et ce faisant tenter de donner du sens à ce qui s'agitait en toi. J'ai aimé t'entendre dire que Del t'avait donné la vie et te voir te saisir de tout ce qu'elle t'offrait. Parfois avec lucidité, gratitude et l'envie de lui rendre cet amour et ce don, parfois avec plus de violence parce que tu construisais auprès d'elle une maturité affective qui passait aussi par une adolescence tumultueuse. J'ai aimé faire partie de ta deuxième vie. Bien sûr, j'aurais voulu être de ceux qui sont restés auprès de toi il y 5 ans, j'aurais voulu être à tes côtés pour te protéger encore plus tôt, mais te connaître après que tu aies été éprouvé si durement et choisir de t'accorder mon amitié et ma confiance, voir ta vie d'après germer doucement en toi, formuler avec toi, Elisabeth et Del des projets que nous croyions possibles pour demain l'été dernier, te voir accepter progressivement que l'on te regarde toutes les trois avec nos yeux et non à travers le prisme des tiens et que l'on te trouve beau et courageux et digne d'amour, a été un privilège. Je t'ai dit tant. Et je me demande encore ce qui faisait le miracle que mes interventions pseudo philosophiques ou littéraires trouvaient sans cesse grâce à tes yeux et que je puisse t'apporter autant que ce que tu m'apportais. Je t'ai dit aussi comme en voyant Eliam, je t'imaginais petit et comme cela me touchait. Que dans notre relation, j'étais toujours en équilibre entre la mère que je suis qui aimait l'enfant que tu fus et l'amie qui cheminait de temps en temps au présent à tes côtés. Tu sais comme j'appréciais ta façon de ne rien trouver normal à priori et de questionner sans cesse les évidences et les conventions. Ce regard d'enfant qui découvre tout et ne prend rien pour acquis ou certain et veut toujours savoir pourquoi ce qui est se manifeste ainsi à nous. Tu sais comme ont été précieux nos petits moments où on jouait les insatiables et où on quittait l'Espelidou tous les deux ou avec quelques nains dans notre sillage pour s'enivrer d'eau glacée et de paysages à couper le souffle. Ce que tu ne sais pas, c'est ce qui se passe après ton départ et qui ressemble à la fin de "Par les routes" - tu te rappelles ce dialogue entre ce roman et le tien, le clin d'œil de ce changement de préposition qui liait nos lectures?- Tu n'es pas là mais ceux que tu as croisés et aimés se rencontrent grâce à toi et tu deviens l'absent vers qui tout converge. L'invisible centre de notre cercle, plus présent, plus palpable que bien des existences physiques. Tu ne le sais pas mais tu as changé nos cœurs. Les lignes bougent pour nous tous grâce à toi. Tu as bousculé nos préjugés, nos colères, nos failles, nos rancoeurs et nos peines pour y glisser de la compréhension et de l'amour. Merci Bruno. Pour tout. Ne voyage jamais trop loin de nos âmes. Reste fiché dans nos cœurs. Et surtout, surtout, que ton phrasé si particulier, ton timbre grave, ta voix brusque, tes mots heurtés, la musique de ton armure qui était aussi le son de ta fragilité, restent dans ma tête et que jamais je n'oublie ta voix.

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  • Elisabeth Oustric
    Il y a 2 ans

    Bruno, Quel drôle de "hasard" d'apprendre ton décès par Sébastien à Alès vendredi soir, et de voir Delphine arriver quelques minutes après avec ton frère Vincent et nous retrouver ainsi à parler de ton départ...comme si nous avions été invités à nous revoir pareillement à l'époque où nous nous retrouvions chez Delphine à l'Espélidou, Toi, Delphine, Sébastien, Jean-Charles et moi et quelques autres amis ? Merci à Delphine de nous avoir fait te rencontrer et partager de beaux moments avec toi . Bon courage à tous tes proches dans ces moments difficiles lorsqu'une page se tourne... Bon voyage Bruno, puisses-tu trouver la sérénité ... de tout cœur.

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  • Muriel Missey
    Il y a 2 ans

    Salut Bruno. Je garde de merveilleux souvenirs de nos moments passés ensemble.... Un Noël chez toi avec Maman et Kieran où tu avais acheté pleins de bons saucissons différents, une grande marche dans Montréal un jour de tempête de neige, un voyage à New York, une nuit à écumer les bars du centre ville, des heures à discuter de tout et de rien.... Tu es une personne exceptionnelle et je suis honorée d'avoir pu partagée une belle amitié avec toi. Tu voyages ailleurs maintenant, et je te souhaite d'être en paix, libre. Mes sincères condoléances à toute ta famille et tes amis. Spécialement à tes frères, Dominique et Vincent, Ta Maman et à Delphine. Bon voyage l'Ami.

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  • Jean PICCIOLI
    Il y a 2 ans

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  • Marie Pierre Rey
    Il y a 2 ans

    Sincères condoléances à la famille et à toi Delphine, toi qui a été si généreuse et dévouée tout au long de la maladie de Bruno. Tu l'as accompagné jusqu'à son dernier souffle. Il a quitté tout doucement ce monde de souffrance pour s'envoler vers un Havre de paix et de sérénité.

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  • Bréard Jean-Charles
    Il y a 2 ans

    Bruno, puisque tu es maintenant sur une autre route, un extrait pour toi de "Sur la route" de Jack Kerouac ton livre de chevet : "…Les fous, les marginaux, les rebelles, les anticonformistes, les dissidents...tous ceux qui voient les choses différemment, qui ne respectent pas les règles. Vous pouvez les admirez ou les désapprouvez, les glorifiez ou les dénigrer. Mais vous ne pouvez pas les ignorer. Car ils changent les choses. Ils inventent, ils imaginent, ils explorent. Ils créent, ils inspirent. Ils font avancer l'humanité. Là où certains ne voient que folie, nous voyons du génie. Car seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu'ils peuvent changer le monde y parviennent…"

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  • Annie Claude maman de Delphine
    Il y a 2 ans

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  • Michèle WEIL
    Il y a 2 ans

    Cet hommage n'est visible que par la famille

  • Sabatelli Philippe
    Il y a 2 ans

    Je te souhaite un bon voyage Bruno. Prends soin de toi, poursuit tes belles lecture dans l au delà et vieille sur Delphine de la ou tu seras.

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